Cette résidence est le moment de conception du dernier volet de la trilogie « Écris-moi un mouton »,, une pièce d’anticipation sur le lien entre la France et l’Algérie qui s’empare des paroles des personnes rencontrées jusqu’alors sur les différents territoires pour inventer, imaginer, tracer l’avenir des relations entre ces deux pays.
En coproduction avec le théâtre Massalia.
« On en croirait pas ses yeux (au début) », troisième volet de la trilogie « Écris-moi un mouton », tente d’imaginer l’avenir du lien entre la France et l’Algérie à travers les yeux de Smaïl.
Né en Algérie en 1994 au temps des attentats, Smaïl arrive en France à 18 ans et se retrouve par tirage au sort à la tête de sa municipalité en 2024. Mais les virages dans le temps bousculent aussi les petites vies, et dans ce slalom idéal, Smaïl a des vertiges…
Nous sommes en pleine salle des fêtes, l’orchestre est là, au milieu des guirlandes. L’histoire de Smaïl émerge sur la table du conseil municipal où sont convoqués personnages du passé, images du futur et situations cocasses mettant Smaïl face à lui-même.
Pièce longue écrite à partir de rencontres à Marseille, Alger, Oran, Constantine et St Priest.
À Marseille, La Marelle dispose de deux appartements indépendants, l’un sur le site de la Friche la Belle de Mai, l’autre à proximité du Palais Longchamp.
Émilie Flacher et Sébastien Joanniez ont égaement travaillé dans des espaces scéniques mis à disposition par le Théâtre Massalia, initiateur de cette résidence longue, inhabituelle pour le théâtre.