Oublions qui nous sommes. Tout est quantique dans la forêt. Il y a des poètes, des cyborgs, des machines. Cachés dans la forêt. Supergeek, Contre-mur, 2018
Boris Crack, né en 1981, est écrivain, musicien, performeur, conférencier et animateur d’ateliers d’écriture et d’éducation à l’image. Il a publié notamment Supergeek, livre électronique de poésie dont le but est d’être envoyé dans l’espace et Les Enfants Sauvages, récit qui revient sur son passage à Seattle. Son travail, influencé par sa pratique de la scène, de la performance, marie écriture répétitive et autofiction, et cultive un goût prononcé pour l’humour burlesque, nonsense. Associant littérature et nouveaux médias, il développe des techniques d’écriture inspirées par la musique minimaliste et électronique ; il parle de cyberpoésie.
Boris Crack collabore avec l’Observatoire de l’Espace du CNES et Seconde Nature, agence de production spécialisée en art numérique. Il a été invité dans de nombreux festivals, dont le festival Sidération (CNES, Paris) et le Mois de la Poésie au Québec, dont il a été commissaire en charge de la sélection française en 2018.
Supergeek, ebook de poésie à vocation spatiale, éd. Contre-mur, 2018
L’Univers est un space cake, humour parallèle et poésie quantique, éd. Indekeuken, Bruxelles, 2018
Sinistrés de la fin du monde, poésie et sérigraphie avec Ben Sanair, La Générale Minérale, 2017
Ma vie racontée à une bûchette de chèvre, poésie, éd. des États civils, 2014
Les Enfants Sauvages, roman, livre + CD, éd. Maelström, 2013
Les Girafes du Mal, poésie, éd. Maelström, 2009
Black Gouda, poésie, éd. Maelström, 2008
Performances, sélection
Nous ne voulons pas quitter l’Europe, nous voulons quitter la Terre, lecture au Salon du livre de Paris, mars 2019
Retour vers le Futur de la Cuisine, série de conférences-performances, produites par Seconde Nature, dans le cadre de Lecture Par Nature, Métropole Aix-Marseille-Provence, décembre 2019
Projet Malte, lecture-performance dans le cadre de la soirée Boute & Boris, avec Antoine Boute, Montévidéo, Marseille, mars 2019