
NATHANAËL
À travers la mise-en-dialogue de plusieurs gestes (la marche, la photographie – argentique – et l’écriture), un projet phototextuel qui s’intéresse avant tout à la pierre, au minéral.
À travers la mise-en-dialogue de plusieurs gestes (la marche, la photographie – argentique – et l’écriture), un projet phototextuel qui s’intéresse avant tout à la pierre, au minéral.
Le Frac et le Centre Photographique Marseille proposent une Bibliothèque éphémère répartie sur deux expositions consacrées à des collections publiques de photographie, à la fois objet de recherche et de réflexion, objet de contemplation, support d’une trame narrative ou romanesque…
Deux fois par mois La Marelle propose de découvrir, le temps d’un brunch, les auteurs et autrices accueilli·es en résidences d’écriture. Aujourd’hui, Louise Bellamy.
Deux fois par mois La Marelle propose de découvrir, le temps d’un brunch, les auteurs et autrices accueilli·es en résidences d’écriture. Aujourd’hui, Donatien Garnier.
Avec le poète Donatien Garnier, une promenade (parfois déambulatoire) au milieu des livres…
Un projet chorégraphique et documentaire sur le quotidien des marins qui partent en haute mer, mené par l’auteur Donatien Garnier en association avec la photographe Hélène David et le chorégraphe Gaël Domenger.
Un travail d’écriture critique, pour une enquête sur la poésie à Marseille et à Shanghai…
Le poète et photographe chinois Wang Yin est invité à la librairie-galerie Zoème pour une lecture bilingue, suivie d’un échange.
Deux expositions (photographique et littéraire), une visite-promenade et un entretien proposés par les étudiants Administration des Institutions Culturelles à l’occasion du week-end d’ouverture de l’année culturelle « Quel amour ! ». Thèmes d’approche : la rencontre et l’art.
Une soirée et une journée professionnelles organisées par le Centre Régional des Lettres Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon livre et lecture, en partenariat avec La Marelle et Alphabetville : pour découvrir l’état actuel de la création littéraire numérique.
Mardi 28 novembre (accès libre) et mercredi 29 novembre (accès réservé), Friche la Belle de Mai.
Un dialogue avec Thierry Fontaine autour d’un choix d’ouvrages présentés conjointement à l’exposition « Vers le but ». Parmi les auteurs retenus dans cette Bibliothèque éphémère : Antonin Artaud, Blaise Cendrars, Aimé Césaire, Pablo Neruda, Thomas Bernhard, Malcolm de Chazal, John Maxwell Coetzee, Édouard Glissant… Lectures : Muriel Tschaen
Pascal Jourdana revient sur son choix d’ouvrages présentés durant l’exposition du Frac Paca « D’une Méditerranée, l’autre ». Avec la participation exceptionnelle de l’auteur de bande dessinée Jacques Ferrandez. / Marseille
La première chose que je peux vous dire est la préciosité du temps, celui-là précisément offert dans un écrin lors d’une résidence et dont on conserve la clef jalousement, pour qu’il ne s’évapore pas, pour le maintenir à soi, un temps précieux qu’il sera d’autant plus facile à offrir qu’il ne se cabre pas, qu’il ne file ni se défile à la moindre injonction, au plus petit courant d’air, un temps fidèle.
À partir des dessous et des pourtours de la ville, matière à images et à écriture, une narration en fragments entre passé et présent, oubli et mémoire, réalité et imaginaire.
Avec le photographe Tadeusz Kluba.
Sylvie Germain, née en 1954 à Châteauroux, est l’auteure d’une trentaine de romans et essais, publiés principalement chez Gallimard au début de sa carrière puis chez Albin Michel. Son œuvre a été couronnée par de nombreux prix littéraires, parmi lesquels le Prix Femina 1989 (« Jours de colère »), le Prix Goncourt des lycéens 2005 (« Magnus ») et le Prix mondial de littérature Cino Del Duca pour l’ensemble de son œuvre. Son dernier roman, « À la table des hommes », a paru en janvier 2016 chez Albin Michel.
Né en 1951 en Pologne, Tadeusz Kluba a effectué presque toute sa carrière professionnelle comme photographe-reporter, aussi bien en Pologne qu’en France, où il a longtemps travaillé pour le quotidien Sud Ouest.
Autour d’un choix d’ouvrages présentés pour l’exposition « Histoires parallèles », une lecture-rencontre de Jakuta Alikavazovic, en conversation avec Pascal Jourdana.
Autour d’un choix d’ouvrages présentés pour l’exposition Histoires parallèles, une présentation de David Gauthier, en conversation avec Pascal Jourdana, suivie d’une lecture-performance du poète Jean-Marie Gleize.
« J’ai beau remuer, touiller, soulever le sucre fondu, tourner, retourner, brasser, rien n’y fait, je porte la tasse à mes lèvres, je bois le liquide refroidi par mes appréhentions et la malédiction s’accomplit inexorablement… le sucre reste au fond. »
L’écrivain malgache Jean-Luc Raharimanana et le photographe marseillais Pascal Grimaud entament un projet qui les amènera à effectuer un voyage commun à Madagascar et un temps de travail croisé entre Marseille et Antananarivo.
[Texte & photo]
Dans son prochain livre, Håkan Lindquist veut entremêler les souvenirs, les lieux, les personnages, comme il aime le faire, d’un roman à l’autre, d’une époque à l’autre. Il va s’imprégner de Marseille, découvrir les modes de vie, les lieux, rencontrer des marins, des pêcheurs, recueillir des témoignages pour construire une image de la ville des années 50 la plus proche de la réalité.
Une proposition en deux temps, atelier et rencontre, pour découvrir le travail et les œuvres du romancier et dramaturge Emmanuel Darley, actuellement en résidence à La Marelle.
Cette résidence a perçu l’aide du Conseil Général des Bouches-du-Rhône dans le cadre du Dispositif départemental de résidences d’auteurs, d’illustrateurs ou de traducteurs.
Je voudrais travailler sur les lieux de circulation. De passage. D’entrée dans le territoire. Port, gare, gare routière, aéroport, autoroutes. Sur les lieux de travail. Rencontrer des gens. Ceux qui sont là de longue date. Ceux qui sont Marseillais depuis peu. Dans les cafés, sur les marchés. Dans des associations. Travailler sur la ville le jour. Travailler sur la ville la nuit.
Dans le cadre du Printemps de poètes 2014 dont la thématique est « Au cœur des arts », trois auteurs, Delphine Bretesché, Jean-François Magre, Anne Savelli, tous anciens résidents de La Marelle, reviennent à Marseille pour faire découvrir au public leurs textes, leurs propositions d’écriture poétique, leurs croisements artistiques. Des voix à entendre…
Une correspondance où s’échangent photos, notes, confidences et où affleure le désastre de l’état du monde. Cette lecture proposée par Julie Kretzschmar et Christine Guichou s’inscrit dans le cadre de la restitution de la résidence « Roman-feuilleton », un projet Marseille-Provence 2013, et du dispositif « La Marelle prend l’eau ».
Cette rencontre radiophonique publique avec le photographe Bruno Boudjelal était consacrée à la correspondance menée avec l’écrivain et photographe Sid Ahmed Semiane (à Alger), dans le cadre du « Roman-feuilleton », production Marseille-Provence 2013, Capitale européenne de la culture.
Membre de l’agence VU’ depuis 2002, Bruno Boudjelal vit entre Paris et l’Afrique. Tendu entre deux continents et deux cultures, il revendique sa capacité à comprendre et à transcrire les problématiques complexes entre le Nord et le Sud.
Journaliste, écrivain, photographe, il est l’auteur de « Octobre, ils parlent », considéré comme l’ouvrage de référence sur les événements du 5 octobre 1988, « Des nuits dans mon rétroviseur » et « Au refuge des balles perdues ». Il a également réalisé en 2007 le film « Bled Musique à l’Usine ».
Le projet de Sid Ahmed Semiane et Bruno Boudjelal s’inscrit à Marseille dans le cadre du « Roman-feuilleton » coordonné par Marseille-Provence 2013 Capitale de la Culture, et, pour Tunis, dans celui du dispositif « La Marelle prend l’eau ».
[La Marelle prend l’eau] [Texte & photo]
Jean-François Magre est né en 1972 à Toulouse. Il a fait un DEUG de Lettres modernes, et a obtenu une Maîtrise à l’École Supérieure d’Audiovisuel de Toulouse en 1998.
Rencontres avec les écrivains Khaled al-Khamissi, Roberto Alajmo, Rachid El-Daïf, Jean-Luc Raharimanana, Hamid Mokaddem, Moustafa Khalifé et les éditeurs Farouk Mardam-Bey et Jutta Hepke.
Les nanodrames sont le résultat de frictions, d’interférences et de va-et-vient entre plusieurs nébuleuses (sources photos, observation de la vie, techniques d’écriture littéraire, plastique et cinématographique…). Le but de ces ateliers est de mettre en pratique ces rapprochements progressifs en partant sur l’élaboration d’un ou plusieurs nanodrames…
Jean-François Magre est le lauréat du premier appel à projets pour une résidence d’écriture numérique à La Marelle. Avec ces « nanodrames » qui empruntent des techniques principalement dédiées à la diffusion de messages publicitaires, il a voulu réintroduire une narration plus lacunaire et mystérieuse là où il n’y a souvent qu’un slogan coup de poing. [Lauréat Résidence numérique 2013]
L’écrivain Arno Bertina a effectué un temps de résidence à La Marelle au printemps 2012, à partir des images de la photographe Anissa Michalon. Il présente leur travail autour de la vie d’un jeune Malien immigré en France « On serait liés… », un dispositif littéraire et photographique qui souligne les pressions s’exerçant sur tous les sans-papiers et, peut-être, sur […]
La vie d’un jeune Malien immigré en France évoquée à travers un livre « Numéro d’écrou 362573 » (texte Arno Bertina, photos Anissa Michalon, collection Collatéral, Le Bec en l’air). Arno Bertina questionne aussi son écriture quand elle se frotte à la photographie…
Entre Tunis et Marseille, une correspondance artistique entre une auteure et un plasticien, qui se nourrit de la distance (entre les villes, entre les êtres, entre les modes d’expression) et de l’articulation des visions et des imaginaires, faisant émerger des réflexions sur la notion d’écart, d’odyssée et de périple.
[Texte & arts plastiques] [La Marelle prend l’eau]
Née en 1975, Magali Brénon est éditrice et écrivain. Elle travaille régulièrement avec des artistes et des musiciens.
Arno Bertina construit un récit, centré sur la figure d’un immigré malien arrivé en France en 1990, en imaginant son amitié avec Ahmed. La photographe Anissa Michalon connaissait ce Malien de Montreuil. Elle l’a rencontré dans sa vie quotidienne, au milieu de sa communauté, et est allée rencontrer sa famille au Mali…
[La Marelle prend l’eau] [Texte & photo]
Retrouver aussi Anne Savelli à la Marelle > Sa résidence Anamarseilles > Ses rencontres à venir > Ses rencontres passées > Ses créations • La première chose que je peux vous dire… • Laisse venir, avec Pierre Ménard […]
Au cours de cette résidence, l’auteure élabore un texte qui s’enroule et se déroule, se suspend, se disloque, se lance et s’extrait… Dans le même mouvement que Dita Kepler, son avatar poreux et mal défini. Un travail sur l’anamorphose, autant que sur le temps et la géographie de l’écriture.